À 49 ans, Guillaume a fait de Porsche sa passion. Ce goût pour la marque allemande pimente ses week-end à chaque fois qu’il sort se balader au volant de son Boxster 986. Mais n’allez pas dire à Guillaume que l’automobile est simple moyen de locomotion ! Pour cet habitant de région parisienne, la voiture est une passion qui l’anime depuis qu’il est jeune. Enfant, Guillaume grandit avec des petites voitures. Plus tard, ses petits jouets métalliques s’en sont allés et le jeune garçon rêve alors de devenir designer automobile à l’image de ses grands illustrateurs de l’époque : « Je dessinais beaucoup et j’appréciais recopier les voitures que je voyais dans les bandes dessinées de Michel Vaillant, mais je n’ai finalement pas poursuivi cette carrière ».
Les années défilent et Guillaume développe un intérêt tout particulier pour Porsche : « J’ai commencé à m’intéresser aux Porsche lorsque j’étais chez mon grand-père à Pau, en 1986. À l’époque, il était abonné à un ancien magazine qui s’appelait Action Automobile et Touristique (ATT). Alors, je plongeais le nez dans les vieux numéros qui traînaient et il y avait cet essai qui m’avait marqué, celui de la Porsche 959 pilotée par Henri Pescarolo. Le récit était absolument incroyable et c’est là que Porsche a gagné mon intérêt », se souvient Guillaume.
Et puis tout s’accélère en 1991 où le « simple » attrait pour Porsche se transforme en véritable passion : « Au début des années 90, il y avait un Grand Prix de Formule 3000, à Pau, et pendant le week-end, des GT3 Cup courraient le championnat de la Carrera Cup. La nuit tombée, j’assistais aux premières courses des 964, et je me souviens du son des flat 6 qui passaient sous mes yeux dans les virages. À ce moment-là, j’ai eu un énorme coup de cœur et je suis devenu un vrai fan de Porsche ».
Guillaume est alors convaincu ! À 50 ans, c’est sûr, il s’achètera sa « vieille voiture, sa voiture plaisir ». Depuis, c’est chose faite et il n’a d’ailleurs pas attendu la cinquantaine pour s’offrir ce cadeau.